IUF logo; clicking here returns you to the home page.
UITA
Unit les travailleurs de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de l'h�tellerie du monde entier


R�union du groupe professionnel HRCT 2003

Ins�r� sur le site web de l'UITA le 15-Jan-2004

Envoyer cet article � une connaissance.

Compte rendu

COMITE DU GROUPE PROFESSIONNEL HRCT - Gen�ve, 27-28 octobre 2003



Compte rendu succinct de la r�union



Point 1: Ouverture de la r�union � Communications


Nicos Epistithiou (pr�sident du groupe professionnel) ouvre la r�union en pr�sentant les excuses de Eric Delecluyse (CCAS-CSC Belgique), Aage Jensen (RBF Danemark) et Vesna Dejanovic (SSUTH Croatie). Il signale par ailleurs que John Herrstr�m, pr�sident de la f�d�ration su�doise HRF et de la section tourisme de l�EFFAT est gravement malade.

Point 2 : Ordre du jour


La proposition d�ordre du jour est adopt�e sans changement.

Point 3 : Adoption du compte rendu de la conf�rence du groupe professionnel (Gen�ve, 18 mai 2002)


Patrick Dalban Moreynas pr�sente le travail r�alis� par le secr�tariat pour donner suite aux recommandations du groupe professionnel. Le compte rendu est adopt� sans changement.

Point 4 : Activit�s r�gionales/nationales


Les camarades suivants/es sont intervenus/es pour pr�senter une information ou compl�ter le rapport �crit sur les principales �volutions dans leurs pays : Birgitta Kihlberg, Nikolas Elomaa, Javier Siguero, Norberto Latorre, Tomoji Misato, Klaus Schr�ter, Jean Paschenko, Austin Kalimanjura et Mohamed El Sharkawi.
Les principales pr�occupations exprim�es par les participants/es concernaient le relatif d�clin de la syndicalisation dans le secteur, la p�nurie d�emplois qualifi�s et l�appel des employeurs � l�emploi de travailleurs/euses migrants/es, les cons�quences de la crise du tourisme sur l�emploi dans le secteur, les probl�mes li�s � l�exploitation en sous-traitance de nombreuses activit�s dans les h�tels et restaurants.
Kerstin Howald a insist� sur l�emploi de travailleurs/euses migrants/es de plus en plus nombreux dans le secteur. Ce sujet fait partie des th�mes abord�s avec les employeurs du secteur, notamment par rapport � l�ouverture de l�UE aux pays d�Europe centrale et orientale.
Ron Oswald a fait le point sur les conflits en cours dans les h�tels :Diamond Cliff Phuket (Tha�lande), Turtle Island (Fiji), Pearl Continental Karachi (Pakistan), ainsi que sur la conclusion du conflit � l�h�tel Shangri-La de Djakarta (Indon�sie).

Point 5-1 : Accord g�n�ral sur le commerce des services


Patrick Dalban Moreynas pr�sente le document pr�par� par le secr�tariat ainsi que la prise de position adopt�e par la conf�rence du groupe professionnel en juin 2001.
Fernando Medina souhaite que l�accent soit mis sur le mode 2 concernant la consommation � l'�tranger, qui int�resse particuli�rement le tourisme. Kerstin Howald insiste sur la prise en compte dans la n�gociation et l�inclusion dans l�accord du respect des normes minimales du travail.
Les recommandations du secr�tariat visant � sensibiliser les syndiqu�s/es, � �valuer la situation dans chaque pays et � obtenir davantage de transparence et de participation syndicale dans les n�gociations sont adopt�es.

Point 5-2 : Tourisme durable


Gabriele Guglielmi donne un compte rendu du travail r�alis� dans le cadre de la Tour Operators Initiative (TOI) pour d�finir des crit�res de reporting social, soci�tal et environnemental r�pondant aux exigences de durabilit�. Il recommande de mettre en place un observatoire des codes et accords de tourisme durable sur un site internet, et d�entreprendre des v�rifications sur site. Il sugg�re que l�UITA prenne l�initiative d��laborer ce site et propose la constitution d�un groupe de travail sur ce sujet.
Fernando Medina partage cette approche et souhaite faire partie du groupe de travail. Il se f�licite par ailleurs de l�affiliation de l�UITA � l�Organisation mondiale du tourisme et de la nomination d�un repr�sentant de l�UITA au Comit� mondial d��thique du tourisme. Il pr�sente le travail r�alis� par son organisation pour lancer en commun avec une organisation d�employeurs espagnole et d�autres partenaires un projet de code �thique (Ethos).
Le comit� adopte les recommandations du secr�tariat encourageant l�UITA � poursuivre sa coop�ration dans le cadre de l�OMT, � identifier toutes les initiatives concernant le tourisme durable et � inclure cette question dans les th�mes abord�s avec les soci�t�s transnationales du secteur.

Point 5-3 : Emploi


Dirk Belau (sp�cialiste BIT h�tellerie-restauration-tourisme) pr�sente le plan d�action propos� par le BIT pour 2004-2005. Il est centr� sur le travail d�cent dans le secteur. Les pistes d�action identifi�es sont la mise en oeuvre d�un syst�me d�analyse du march� du travail (Tourism Labour Account System � TLAS) dans certains pays pilotes et la r�alisation d��tudes sur les pratiques de dialogue social, les mesures positives pour attirer et retenir les salari�s/es dans le secteur, les proc�dures et moyens de la flexibilit�, les politiques de formation et les d�ficits sociaux, notamment en mati�re d��galit� professionnelle, de travail des enfants et de sant� et s�curit� au travail.
Le plan d�action devrait permettre la r�alisation d�un cadre m�thodologique pour le TLAS, d�un manuel sur les indicateurs sociaux et les moyens de leur application (incluant l�application des normes sociales pertinentes � convention OIT 172, recommandation 179), d�un manuel sur le dialogue social. Ce programme sera �valu� afin de d�finir les suites � donner. Le plan d�action a fait l�objet d�une consultation lors de la r�union tripartite pour l�h�tellerie-restauration-tourisme de la r�gion Asie/Pacifique tenue � Bangkok du 15 au 17 septembre 2003.
Monsieur Belau confirme que seulement 13 pays ont ratifi� la convention 172. Elle est consid�r�e par nombre de gouvernements comme une convention mineure et reste trop mal connue.
Gabriele Guglielmi, Birgitta Kihlberg, Austin Kalimanjura, Javier Siguero participent � la discussion qui met en lumi�re l�opposition des employeurs � la ratification de cette convention.
Le groupe adopte les recommandations du secr�tariat appelant les affili�es � transmettre au secr�tariat toute information sur les fluctuations de l�emploi dans le secteur et sur les r�ponses possibles au niveau international aux d�ficits sociaux dans le secteur.

Point 5-4 : Travailleurs/euses migrants/es


Debbie Anderson pr�sente la grande manifestation organis�e par l�AFL-CIO aux Etats-Unis fin septembre en soutien aux travailleurs/euses immigr�s/es (Immigrant Workers Freedom Ride). Elle portait notamment sur la l�galisation et la citoyennet� des migrants/es, sur le droit au regroupement familial, sur la protection des droits des travailleurs/euses quel que soit leur statut et sur la protection des droits et libert�s civiques.
Kerstin Howald rappelle la d�claration commune EFFAT/HOTREC sur l��largissement de l�UE et la pr�vention du dumping social. Une brochure sera diffus�e largement. Un travail sera n�cessaire avec les employeurs au niveau local notamment sur les questions de formation des migrants/es. La protection des migrants/es devrait �tre une question pos�e dans le cadre des comit�s d�entreprise europ�ens.
Fernando Medina, Carmelo Caravella, Javier Siguero, Nicos Epistithiou, Klaus Schr�ter participent � la discussion. Il en ressort que le mouvement syndical doit � la fois prot�ger les droits des travailleurs/euses migrants/es et d�fendre le niveau de droits sociaux existants. Toute mobilit� de salari�s/es doit se faire en respectant les conditions dans le pays d�accueil.
Le comit� convient de demander au secr�tariat de tenir les affili�es inform�es des pr�paratifs de la discussion sur les travailleurs/euses migrants/es pr�vue � la conf�rence internationale du travail de juin 2004, de rendre compte de possibles discussions sur la question de la mobilit� des travailleurs/euses avec les interlocuteurs internationaux (OMT, BIT, IH&RA, Club M�diterran�e) et de suivre la situation r�sultant de la d�cision d�un tribunal fran�ais d�autoriser le travail sur territoire fran�ais de salari�s/es sous statut britannique.

Point 5-5 : Sous-traitance


Bo Drews�ter, Austin Kalimanjura, Valter Surian, Jean Paschenko, Nikolas Elomaa, Debbie Anderson et Javier Siguero participent � la discussion sur ce point. Ils confirment pour l�essentiel l�extension du recours � la sous-traitance et la r�sistance des employeurs � toute limitation de ces pratiques, comme le montre le conflit au Sheraton Gateway Toronto o� il a fallu des actions offensives pour forcer l�employeur � introduire une clause de limitation dans la convention collective.
Dans un certain nombre de cas, la sous-traitance fonctionne par l�emploi de travailleurs/euses migrants/es non d�clar�s avec une couverture sociale minimale.
Il est sugg�r�, comme c�est le cas en Espagne, d�obtenir par la n�gociation ou la loi la d�finition de r�gles sur la sous-traitance, en d�finissant les activit�s qui peuvent �tre op�r�es en sous-traitance et celles qui ne doivent absolument pas l��tre, et les conditions � respecter dans le cas de sous-traitance. Une coop�ration sur cette question avec d�autres organisations internationales est consid�r�e souhaitable.
Le groupe adopte cette suggestion.

Point 5-6 : Contrats pr�caires


Fernando Medina, Gabriele Guglielmi, Valter Surian et Nikolas Elomaa participent � la discussion. Ils constatent que les salari�s sous contrats pr�caires repr�sentent un pourcentage significatif du nombre total de salari�s des h�tels et restaurants (autour de 30% en Espagne) m�me si cette proportion tend � diminuer en Espagne gr�ce � l�action syndicale. En France, la multiplication de contrats financ�s par la collectivit� a conduit � l�entr�e dans le secteur de jeunes non form�s qui ont repr�sent� une main d�oeuvre bon march� pour les employeurs. Ces contrats � dur�e limit�e n�ont pas �t� en g�n�ral renouvel�s et ont conduit de nombreux jeunes au ch�mage ou � accepter toutes les exigences de l�employeur pour garder leur emploi.
Il faudrait rendre les contrats pr�caires plus co�teux pour les employeurs que les contrats stables.
Le secr�tariat est mandat� pour continuer � travailler sur cette question.

Point 5-7 : Formation professionnelle


Birgitta Kihlberg, Kerstin Howald, Gabriele Guglielmi, Debbie Anderson, Mamdouh Mohamdy Mohamed, Nicos Epistithiou, Javier Siguero et Norberto Latorre soulignent l�importance de la question de la formation professionnelle pour les syndicats. Dans quelques pays (Espagne, Chypre, France), la formation professionnelle est d�finie et g�r�e avec les organisations syndicales, mais en g�n�ral la formation reste de la responsabilit� des employeurs, en particulier celles qui sont propos�es par les soci�t�s et qui rel�vent davantage de l�adaptation au poste de travail que de la r�elle formation professionnelle.
Beaucoup d�employeurs continuent � consid�rer la formation professionnelle comme une charge et non comme un investissement. Ils ne sont pas dispos�s � reconna�tre les qualifications acquises gr�ce � la formation professionnelle, notamment en terme de salaire.
La formation professionnelle est un sujet sur lequel HOTREC et l�EFFAT ont effectu� un travail conjoint. L�Union syndicale nordique des h�tels et restaurants a mis en place un groupe de travail sur cette question. Certaines organisations syndicales (UTHGRA) mettent � disposition des cours de formation, tandis que des exp�riences sp�cifiques au recyclage professionnel des handicap�s sont men�es dans certains pays (Italie).

Point 5-8 : Egalit� professionnelle


Barbro Budin intervient sur les aspects suivants : harc�lement et violence sexuels li� � la possibilit� offerte aux clients des h�tels de visionner des films pornographiques; encouragement � la prostitution par les autorit�s grecques en perspective des Jeux Olympiques d�Ath�nes ; activit�s men�es dans le cadre du BIT et du comit� des femmes ; n�cessit� d�une participation de femmes migrantes � la conf�rence internationale du travail de juin 2004 qui sera saisie de la question des travailleurs/euses migrants/es.
Le comit� convient que la d�cision concernant l�exploitation des femmes lors des Jeux Olympiques d�Ath�nes devra �tre prise par le comit� de direction du groupe professionnel. Le comit� adopte les recommandations du secr�tariat concernant une participation des affili�es � la campagne globale sur la syndicalisation des femmes lanc�e par Global Union, et sur la n�cessit� de proposer un plan d�action pour la syndicalisation des jeunes.

Point 5-9 : Travail des enfants


Carmelo Caravella et Austin Kalimanjura interviennent pour soutenir l�engagement des organisations syndicales dans la lutte contre l�exploitation sexuelle commerciale des enfants dans le tourisme, et la coop�ration avec des organisations non-gouvernementales dans ce domaine. Le code de conduite �labor� par ECPAT devrait �tre davantage promu.
Le comit� convient que le mod�le d�accord sur la pr�vention de l�exploitation sexuelle des enfants dans le tourisme devrait �tre davantage utilis�.

Point 5-10 : Syndicalisation


Debbie Anderson pr�sente la strat�gie de son organisation en mati�re de syndicalisation, bas�e sur la coordination dans le temps des n�gociations dans les h�tels de certaines grandes villes. Par ailleurs, des clauses sont ins�r�es dans les accords � certains niveaux (Disney World, Boston) pr�voyant une syndicalisation automatique d��tablissements nouvellement construits ou de salari�s pr�c�demment non organis�s (temps partiels).
Le comit� approuve la d�claration propos�e par le secr�tariat en soutien au syndicat de l�h�tel Diamond Cliff de Phuket (Tha�lande).

Point 6-1 : H�tellerie et restauration � conditions de travail


Carmelo Caravella, Nikolas Elomaa et Fernando Medina, tout en reconnaissant l�int�r�t de l��tude entreprise par le secr�tariat sur la dur�e du travail dans le secteur, souhaiteraient la rendre plus utilisable pour les affili�es en focalisant davantage la recherche notamment sur le temps partiel et le travail temporaire. Il est souhait� que les �tudes soient concentr�es sur quelques grandes soci�t�s transnationales. Ceci rendrait les r�sultats plus imm�diatement comparables.

Point 6-2 : R�mun�ration


Fernando Medina et Klaus Schr�ter interviennent pour commenter les r�sultats de l�enqu�te r�alis�e par le secr�tariat sur les modes de r�mun�ration dans le secteur. Le comit� convient qu�une enqu�te sur les salaires dans le secteur ne serait pas utile car elle ne donnerait pas d�indication fiable sur le pouvoir d�achat respectif dans les diff�rents pays.

Point 6-3 : Sant� et s�curit�


Nikolas Elomaa, Valter Surian, Fernando Medina, Gabriele Guglielmi et Debbie Anderson commentent le rapport du secr�tariat sur les risques des m�tiers du tourisme, les questions de VIH/SIDA, et la lutte contre la fum�e passive. Cette derni�re question suscite des commentaires contradictoires, certains camarades jugeant l�interdiction absolue de fumer potentiellement probl�matique pour le niveau de fr�quentation des �tablissements concern�s, tandis que d�autres constatent que le nombre de clients s�accro�t lorsqu�une telle interdiction existe.
Le comit� demande au secr�tariat de poursuivre son travail de recherche et de diss�mination de l�information sur les questions de fum�e passive et de sant� et s�curit� pour les travailleurs/euses du secteur. Les affili�es sont encourag�es � participer � la campagne contre le VIH/SIDA en coop�ration le cas �ch�ant avec d�autres organisations.

Point 6-4 : Soci�t�s transnationales


Klaus Schr�ter, Jean Paschenko, Mohamed El Sharkawi, Kerstin Howald, Debbie Anderson et Javier Siguero compl�tent les informations sur les soci�t�s transnationales du secteur. La restructuration de la restauration/h�tellerie ferroviaire (Wagons-Lits) du groupe Accor en Belgique est termin�e dans des conditions jug�es satisfaisantes par les salari�s/es concern�s/es. En revanche, le litige sur le paiement du pourcentage service dans les h�tels Accor en Egypte n�est pas r�gl�. Une r�union est pr�vue avec la participation de l�UITA.
Kerstin insiste sur l�utilit� des comit�s d�entreprise europ�ens pour �tendre les droits des salari�s/es. L�efficacit� des comit�s europ�ens d�pend de leur composition, et de l�implication ou non des syndicats au moment de leur constitution. Elle confirme que les secr�tariats de l�EFFAT et de l�UITA coop�re autant que possible dans tous les domaines.
La syndicalisation est une priorit� dans les transnationales. Les accords cadres internationaux, comme celui en n�gociation avec le Club M�diterran�e, devraient se concentrer sur cet objectif. Les affili�es devront pouvoir se prononcer sur le contenu de l�accord.
Le comit� encourage les affili�es � utiliser l�accord sur le droit syndical sign� avec le groupe Accor pour accro�tre la syndicalisation dans cette soci�t� (comme l�a fait le syndicat HERE Local 75 au Novotel Centre de Toronto), et mandate le secr�tariat pour poursuivre la n�gociation avec le Club M�diterran�e.
Il appelle le secr�tariat � reprendre sans trop tarder la publication d�une liste des h�tels non recommand�s.

Point 7 : Restauration rapide


La discussion sous ce point porte particuli�rement sur la strat�gie � adopter vis-�-vis du groupe McDonald�s. Roberto Ricciardi, Klaus Schr�ter, Claudie Hidreau et Birgitta Kihlberg sont intervenus/es sous ce point.
Des �volutions ont �t� constat�es dans certains pays o� les syndicats ont r�ussi � mettre en place des relations correctes avec les directions locales, tandis que dans d�autres la lutte frontale avec les syndicats est une priorit�. Au niveau mondial toutefois, la soci�t� n�a manifest� aucune vell�it� de reconna�tre le fait syndical.
Le comit� convient que l�action vis-�-vis de McDonald�s demande � �tre red�finie. Le comit� directeur est pri� de r�fl�chir � une approche globale qui inclurait d�autres soci�t�s de restauration rapide.

Point 8 : Restauration pour les collectivit�s


Jacqueline Baroncini fait rapport sur la r�union tenue les 26 et 27 octobre. Elle a permis de faire le point sur le travail syndical dans les trois grandes soci�t�s du secteur, Compass, Sodexho et Aramark. Jacqueline a �galement fait un rapport de la r�union organis�e avec l�ITF sur le catering a�rien � Londres les 16 et 17 octobre. Klaus Schr�ter, Javier Siguero et Debbie Anderson prennent part � la discussion et constatent que les nouvelles tendances (compagnies � bas prix) menacent l�activit� de restauration a�rienne.
Le comit� souhaite la poursuite du travail de l�UITA sur le secteur de la restauration de collectivit�s et de la restauration a�rienne.

Point 9 : Prochaine r�union du comit� du groupe professionnel


Nicos Epistithiou, au nom d�Emilio Fargnoli, propose l�organisation de la prochaine r�union en Italie (Sicile). Norberto Latorre exprime �galement le souhait de recevoir la prochaine r�union du comit� du groupe en Argentine.
Le secr�tariat est charg� de contacter les deux organisations concern�es pour �tudier avec elles les possibilit�s.
Le pr�sident Epistithiou remercie les participants/es et cl�t la r�union.